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Le Clos des Fées, Paluel (France)
Informations sur le projet
- Lieu Paluel, France
- Architecte(s) COBE Architecture et Paysage
- Technique(s) Tasseaux VMZINC
- Aspect(s) QUARTZ-ZINC
- Application Toiture
- Contractor(s) GOUJON VALLEE
- Copyright paul kozlowski
De zinc et de chaume
Le hameau du clos des fées compte 20 logements. C’est peu à l’échelle d’une métropole, mais à l’échelle de Paluel, bourg normand de 500 âmes, cela représente un nouveau quartier. L’opération est construite aux limites de la commune, sur une ancienne parcelle agricole ouverte sur la mer et la campagne. Composée essentiellement de maisons individuelles, elle est une alternative aux lotissements pavillonnaires stéréotypés.
Le plan général donne la priorité aux espaces publics : la circulation automobile est cantonnée en périphérie du terrain, le reste des voies étant constitué de rues piétonnes ou de placettes. L’aménagement paysager tient une grande place dans la qualité du projet, que l’on peut présenter comme un parc habité.
La préservation d’une grande surface de sol végétal autorise le drainage naturel des eaux de pluies. Une portion du parc est constituée de sculptures rendant hommage à la fée électricité, une allusion évidente à la production d’énergie électrique qui tient une grande place à Paluel puisque ce bourg accueille depuis 1986 une centrale nucléaire.
Outre les maisons individuelles, on compte une maison commune, deux gîtes et des lieux d’activités centrés sur le jardinage : le site est en effet à proximité de jardins très visités par les touristes du monde entier.
Les différents édifices sont construits suivant des modes constructifs anciens mais mis en oeuvre de manières contemporaines.
La couverture hybride des logements, une toiture à deux pans dont l’un est en zinc prépatiné clair et l’autre en chaume, est représentative de cette attitude. Les architectes de l’agence COBE utilisent à grande échelle le jonc de chaume pour les toitures orientées au nord, vers la mer. Celles orientées au sud, vers le village, sont couvertes en zinc. Cependant, c’est l’exposition au soleil, plus qu’aux intempéries, qui a guidé ce choix.
Les logements sont équipés d’appareils utilisant des énergies renouvelables. Le zinc est employé là où les émergences de toitures - capteurs pour l’eau chaude sanitaire, conduits d’évacuation des poêles à bois - nécessitent un matériau garantissant une étanchéité irréprochable.
Le hameau du clos des fées compte 20 logements. C’est peu à l’échelle d’une métropole, mais à l’échelle de Paluel, bourg normand de 500 âmes, cela représente un nouveau quartier. L’opération est construite aux limites de la commune, sur une ancienne parcelle agricole ouverte sur la mer et la campagne. Composée essentiellement de maisons individuelles, elle est une alternative aux lotissements pavillonnaires stéréotypés.
Le plan général donne la priorité aux espaces publics : la circulation automobile est cantonnée en périphérie du terrain, le reste des voies étant constitué de rues piétonnes ou de placettes. L’aménagement paysager tient une grande place dans la qualité du projet, que l’on peut présenter comme un parc habité.
La préservation d’une grande surface de sol végétal autorise le drainage naturel des eaux de pluies. Une portion du parc est constituée de sculptures rendant hommage à la fée électricité, une allusion évidente à la production d’énergie électrique qui tient une grande place à Paluel puisque ce bourg accueille depuis 1986 une centrale nucléaire.
Outre les maisons individuelles, on compte une maison commune, deux gîtes et des lieux d’activités centrés sur le jardinage : le site est en effet à proximité de jardins très visités par les touristes du monde entier.
Les différents édifices sont construits suivant des modes constructifs anciens mais mis en oeuvre de manières contemporaines.
La couverture hybride des logements, une toiture à deux pans dont l’un est en zinc prépatiné clair et l’autre en chaume, est représentative de cette attitude. Les architectes de l’agence COBE utilisent à grande échelle le jonc de chaume pour les toitures orientées au nord, vers la mer. Celles orientées au sud, vers le village, sont couvertes en zinc. Cependant, c’est l’exposition au soleil, plus qu’aux intempéries, qui a guidé ce choix.
Les logements sont équipés d’appareils utilisant des énergies renouvelables. Le zinc est employé là où les émergences de toitures - capteurs pour l’eau chaude sanitaire, conduits d’évacuation des poêles à bois - nécessitent un matériau garantissant une étanchéité irréprochable.