Thermique des bâtiments /
20 juin 2024
Article n°2 : Les caractéristiques thermiques du zinc
Le zinc a des propriétés thermiques avantageuses pour la construction, comme une dilatation modérée et une faible énergie grise. Cependant, il nécessite une isolation efficace pour éviter l'inconfort dû à sa bonne conductivité thermique, surtout en période de forte chaleur. L'isolation réduit les pertes et gains de chaleur, améliorant le confort et l'efficacité énergétique des bâtiments.
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Dilatation thermique modérée, faible énergie grise liée à sa fabrication, résistance à la chaleur… l’emploi du zinc dans la construction n’est pas le fruit du hasard. Plus qu’aucun autre, ce matériau possède de nombreuses propriétés fondamentales qui, si elles sont indiscutables, ne sauraient exprimer leur plein potentiel sans l’application de principes d’isolation thermique efficaces.
Le zinc réagit modérément aux changements de températures.
Lors d’épisodes de fortes chaleurs ou de grand froid, le zinc est un matériau sur lequel on peut compter. Pourquoi ? Parce qu’il se dilate ou se contracte modérément. Son comportement peut donc s’anticiper, ce qui permet de l’intégrer sereinement dans des assemblages ou des structures architecturales.
Le zinc est moins énergivore que les autres métaux lorsqu’il est fondu.
La température de fusion du zinc est de 420°C, lors de sa transformation industrielle dans des fours, température la plus basse de tous les métaux. Avec moins d’énergie consommée pour l’alimentation des fours, contrairement à l’acier, mais aussi à l’aluminium, le zinc présente une faible énergie grise impactant favorablement son empreinte carbone.
Le zinc a un comportement maitrisé face à la chaleur.
S’il devient malléable au contact de températures très élevées, le zinc présente l’avantage de résister à la chaleur et de ne pas s’enflammer. En outre, il ne dégage aucun gaz nocif à des températures normales. Un atout supplémentaire sur un chantier !
Cependant, à l'instar de nombreux matériaux, les propriétés thermiques du zinc nécessitent une isolation efficace pour être pleinement optimisées. Le zinc possède une bonne conductivité thermique ce qui peut générer un certain inconfort à l’intérieur des bâtiments dans les derniers étages en période de forte chaleur. Problème qui est particulièrement prononcé dans les bâtiments mal ou non isolés, communément appelés « passoires thermiques ».
L'isolation fonctionne comme une barrière thermique efficace, diminuant les pertes de chaleur en hiver et les gains de chaleur en été. Elle contribue ainsi à maintenir des conditions de vie agréables toute l'année, tout en réduisant la consommation d'énergie et l'empreinte carbone du bâtiment. Agir sur l’isolation est donc essentiel !
Le zinc réagit modérément aux changements de températures.
Lors d’épisodes de fortes chaleurs ou de grand froid, le zinc est un matériau sur lequel on peut compter. Pourquoi ? Parce qu’il se dilate ou se contracte modérément. Son comportement peut donc s’anticiper, ce qui permet de l’intégrer sereinement dans des assemblages ou des structures architecturales.
Le zinc est moins énergivore que les autres métaux lorsqu’il est fondu.
La température de fusion du zinc est de 420°C, lors de sa transformation industrielle dans des fours, température la plus basse de tous les métaux. Avec moins d’énergie consommée pour l’alimentation des fours, contrairement à l’acier, mais aussi à l’aluminium, le zinc présente une faible énergie grise impactant favorablement son empreinte carbone.
Le zinc a un comportement maitrisé face à la chaleur.
S’il devient malléable au contact de températures très élevées, le zinc présente l’avantage de résister à la chaleur et de ne pas s’enflammer. En outre, il ne dégage aucun gaz nocif à des températures normales. Un atout supplémentaire sur un chantier !
Cependant, à l'instar de nombreux matériaux, les propriétés thermiques du zinc nécessitent une isolation efficace pour être pleinement optimisées. Le zinc possède une bonne conductivité thermique ce qui peut générer un certain inconfort à l’intérieur des bâtiments dans les derniers étages en période de forte chaleur. Problème qui est particulièrement prononcé dans les bâtiments mal ou non isolés, communément appelés « passoires thermiques ».
L'isolation fonctionne comme une barrière thermique efficace, diminuant les pertes de chaleur en hiver et les gains de chaleur en été. Elle contribue ainsi à maintenir des conditions de vie agréables toute l'année, tout en réduisant la consommation d'énergie et l'empreinte carbone du bâtiment. Agir sur l’isolation est donc essentiel !